top of page

La Mode..La Mode..La Mode

Intemporalité semble être le maître-mot de Converse : ses modèles traversent

les âges sans jamais prendre une ride, séduisant toujours les esthètes, à l’image

de la légendaire sneaker Jack Purcell. Pensée pour les dandys, mais pas que.

La preuve.

 

Pour comprendre le succès discret mais jamais démenti des légendaires Jack Purcell,

il faut remonter à une époque où les stars du sport n’avaient rien du bling de David 

Beckham ou Cristiano Ronaldo.

 

Autour de 1930, les groupies se disputaient plutôt les faveurs de joueurs de tennis,

de golf ou même de badminton, à l’image de John Edward Purcell,  surnommé

« Jack » par un public qui le porte aux nues. Né en 1903 dans l’Ontario, 

le Canadien remporte 5 titres consécutifs de champion régional, avant de décrocher deux titres nationaux en 1929 et 1930. La légende est en marche et l’irrésistible succès de Jack Purcell le conduit même à tenir une colonne sur le badminton dans le Toronto Star. Le meilleur restant à venir, il devient champion du monde en 1933 et demeurera invaincu jusqu’à sa retraite, en 1945.

 

La firme BF Goodrich le chausse dès ses débuts professionnels, et le joueur dessine lui-même le modèle qui lui assurera un confort optimal sur les courts. Au-delà de ses incontestables exploits, Jack Purcell, c’est aussi un style, une véritable allure qui lui valait toutes les faveurs.

 

Archétype du genre idéal, la star incarne une certaine idée de la jeunesse privilégiée, saine et sportive. Chemises immaculées, chevelure soigneusement gominée, raie sur le côté, et un indéfectible sourire ultra bright de gendre idéal qui figurera même sur sa sneaker : celle-ci s’orne en effet d’un arc de cercle sur sa pointe, signature du modèle iconique.

 

Rachetée en 1970 par Converse, plus chic et plus confidentielle que la Chuck Taylor, la Jack Purcell est portée par un esthète qui ne fait aucune concession sur le style mais tient tout de même à son confort.

 

Entre un quotidien hyperactif, rythmé par un travail prenant mais ponctué de sorties culturelles et autres soirées mondaines, pas question de faire un choix, et la chaussure devient ainsi, plus qu’un simple accessoire : un véritable mode de vie, que ne renierait pas aujourd’hui le vrai Jack Purcell … Plus de 100 ans d’anticonformisme, voici le glorieux bilan de Converse.

 

Son histoire de rébellion commence avec son usage détourné : de chaussure destinée à l’usage des sportifs, la marque chausse désormais tous les pieds aussi bien en ville qu’en soirée. Si les premières productions de la griffe sont au départ des bottes fourrées destinées à lutter contre les hivers rigoureux, la Converse Rubber Shoes Company, née en 1908 au nord de Boston, décèle vite un immense potentiel à ses chaussures. Le premier essai de diversification est payant : la marque lance en 1915 une chaussure de tennis et s’adjoint la notoriété, en 1921, du célèbre basketteur des Akron Firestone, Chuck Taylor. Une collaboration inédite et pour cause : aucune marque n’avait jamais alors fait appel à un sportif pour promouvoir ses modèles. La griffe le remerciera en 1932 pour ses bons et loyaux services en apposant son nom sur le macaron ornant la chaussure. Une façon de faire et un savoir-faire perpétués avec la Jack Purcell.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 

Il y a un moyen de plaire à une femme à coup sûr. Tout le monde est capable de le faire et ça ne coûte pas un centime. Découvrez cette astuce vieille comme le monde pour faire craquer votre dulcinée lors du premier rendez-vous. Comment plaire à une femme au premier rendez-vous ? Combien d'hommes se sont posés cette question fatidique ? Comme disait l'autre, "on a jamais deux fois l'occasion de faire une bonne première impression". Du coup, on se creuse la tête pour être au top. Bien habillé, bien peigné, bien rasé... mais l'essentiel est ailleurs. Ce que les femmes adorent par dessus tout n'a rien à voir avec le physique. C'est vieux comme le monde. Il s'agit... de la galanterie !

 

Elle peut paraître désuète, parfois ringarde, mais les femmes s’en plaignent constamment : les hommes ne sont pas (ou plus) galants. The Menlook Tribune s’est donc donné pour devoir de vous ré-instruire sur cet art considéré comme une forme de politesse, mais qui est surtout une arme de séduction massive.
 

La Galentrie 

La galanterie est un ensemble de règles que les hommes doivent appliquer à l’égard des femmes. Ils doivent faciliter les déplacements, les mouvements et l’habillement de celles-ci. C’est aussi un moyen de témoigner de sa prévenance, de son respect et de sa considération. Mais d’où vient la galanterie ? Il semblerait qu’il existe deux origines potentielles. Selon Claude Habib, anthropologue, elle serait le résultat d’un mélange de deux cultures françaises : la sudiste et la nordique. Au sud, on parle de « machisme méditerranéen » qui comprend une hyper-sexualisation de l’espace public (en d’autres termes, c’est la possibilité de draguer). Au nord, c’est le « puritanisme », c’est-à-dire une totale absence d’érotisation des lieux publics. La galanterie serait donc née de la confrontation de ces deux cultures, entraînant une forme d’érotisme léger et apparenté à la séduction : la galanterie.

 

L’autre origine remonte au XII ème siècle, avec la naissance de la courtoisie. Elle apparaît dans les cours d’Aliénor d’Aquitaine et de Marie de Champagne. Les poètes, troubadours et autres ménestrels se mettent à chanter les louanges d’un nouvel art d’aimer. Ces chants étaient en fait destinés à faire honte aux pratiques brutales de certains hommes, en issant les femmes au rang de suzeraines naturelles. C’est ainsi que débute la légende du chevalier servant, secourant sa princesse. Au XVIIème siècle, la courtoisie se transforme. C’est dans des salons, comme celui de Madeleine de Scudéry, que les artistes se réunissent pour converser et échanger leurs idées. En remerciement, ils comblaient d’attentions l’hôtesse. La courtoisie médiévale est alors devenue la galanterie, plus légère et moins contraignante. Les pratiques de la galanterie : Outre ouvrir la porte à une dame, ne pas l’interrompre lorsqu’elle parle et la raccompagner chez elle, d’autres règles de galanterie, moins connues, sont à appliquer :

 

- Dans les escaliers, passer derrière elle lors de la montée, afin d’éventuellement la retenir en cas de chute.

 

- Lorsque vous accompagnez une femme dans la rue, toujours lui laisser le côté du trottoir le plus éloigné de la route afin de la protéger de la circulation.

 

- Dans les lieux publics, comme les restaurants, l’homme doit toujours entrer avant la femme afin de prévenir le moindre problème. La règle s’inverse dans l’intimité.

 

- Toujours faire attention à remplir le verre d’une femme, celle-ci ne doit jamais le remplir seule. - Ne jamais lui souhaiter « bon appétit », ce serait lui souhaiter un « bon transit ».

 

- Si vous voulez vous adonner à la pratique du « baise-main », n’oubliez pas que vos lèvres ne doivent pas toucher la main, mais à peine l’effleurer.

 

Il vous reste ensuite à faire attention à ces petits gestes que les femmes aiment tant, comme leur ouvrir la porte, leur offrir des fleurs… Vous êtes maintenant prêts à vous montrer galants et à jouer au jeu de la séduction.
 

 

  • Wix Facebook page
  • Wix Google+ page

© 2023 by Vulcain Group. All rights reserved.

bottom of page